En mathématiques, les ajustements que nous avons effectués nous ont permis d’avoir la meilleure droite ou courbe possible. De plus cette étape est en fait la modélisation de la croissance de nos levures qui peut permettre de prévoir la réaction de levures en cas de variations des conditions opératoires. Ainsi si l’on souhaite obtenir des levures en certaine quantité ou à une certaine période de leur vie, en cas de changement accidentels des conditions opératoires, celle-ci pourrons etre modifiée afin d’obtenir le résultat souhaité.
Cependant, ces ajustements ont leurs limites, en effet, par exemple pour la modélisation de la croissance étudiant l’influence du KNOP la limite n’est pas définie sur l’infini, nous nous sommes limitées à un intervalle. Nous avons fait de même pour l’étude à 40 degrés, car la courbe devenait une constante à partir de 66. De plus, pour le tube témoin ainsi que pour l’erlenmeyer sur l’étude de l’influence du KNOP, nous avons remarqué que la croissance des levures se stabilisait au bout de 97 heures. Nous avons interprété cette stabilisation par un manque de substrat. L’ajustement pour le tube témoin a donc été stoppé à 97 heures. De plus, en cas de manque prolongé de glucose nous savons grâce à l’erlenmeyer étudiant son influence, que les levures meurent. C’est pourquoi la fonction homographique n’a été étudiée que su l’intervalle [0 ; 97] car nous supposions que la courbe ne continuerais pas à s’approcher de 710 mais s’en éloignerais rapidement.